CHAPITRE III : Un nouveau monde
Il était environ 14h15 lorsque la porte fini de s’ouvrir et je pensait à l’expression « trou à rats » que j’utilisait souvent… elle était justifié, et pas qu’un peut… une horde de rats se jetèrent sur nous…quelque coups de pied de biche par-ci par-là…c’est marrant comme un rat éclate facilement, et que leur boyaux sont très élastiques…
Après cette petite fête, nous sortîmes enfin de la grotte… Une chose lumineuse nous éblouissaient et après m’être avancé plus amplement, je m’aperçu que c’était le soleil. C’est sur qu’avec toutes ces années passées dans un abri, ça a du bien modifier notre vue.
Nous avancions lorsque le pied de Stan marchât sur quelque chose de craquant, après avoir regardés de plus près, nous avions reconnus quatre corps, ou plutôt quatre squelettes avec des uniformes de l’abri. Il ne restait pas grand-chose…les uniformes et deux gourdes vide. Mais quelque chose me dérangeait, si c’était le groupe envoyé par le dirigeant, ou était passé le cinquième ? Certainement plus enfoncé dans le sable…
Nous continuons la marche et nos yeux, peu à peu commençaient à s’habituer à la lumière naturelle.
Après des heures de marche, nous avions trouvé une vieille station essence de l’avant guerre, désaffectée depuis bien longtemps déjà. Stan me dit :
« On va passer la nuit ici
- ouai, c’est une bonne idée »
L’endroit était poussiéreux mais pas trop détruit. Il restait encore des morceaux de toit! »
Il était à peut près 22h00 lorsqu’une pensée me vin soudainement :
« Si nous sommes dans une station service, c’est qu’il doit y avoir une route à coté
- mais oui, pourquoi on n’y a pas pensé plus tôt ?
– bon, repris-je, on dort, demain on fouillera les lieux et par la suite, on cherchera la route. »
Le lendemain, on se mis au travail, on regardait dans chaque tiroirs, chaque étagères, rien, jusqu’au moment ou Stan cria :
« J’en ai une, j’en ai une !
- mais une quoi ?
- une pompe a vélo, elle est rouillée mais elle souffle.
- super, amène la, on va gonfler les pneus, comme ça on pourra enfin utiliser ces machins... »
Je peux dire que même si je n’ai jamais cru en un dieu, la on peut dire que les astres nous aidés… avoir autant de bol que ça…
Après avoir gonflé les pneus et regroupé les affaires, nous nous étions mis à la recherche d’une route. Effectivement, il y avait bien une route, Ou plutôt ce qu’il en restait, on la distinguait mal, mais suffisamment pour la suivre. Nos sacs sur le dos et nous sur les selles, nous pouvions partir.
Deux jours déjà que l’ont pédalaient, et il nous restait environ trois jours de vivre et rien à l’horizon.
Le troisième jour, la désespérance était forte, mais lors d’un moment de repos ont aperçus au loin une forme, on aurait dit des bâtiments, peut-être des restes de ville, ou pourquoi pas un village. Il fallait s’en assurer…